Monday, October 17, 2005

blanc comme neige

Je ne vote pas. J’en ai déjà brièvement parlé ici, j’avais d’ailleurs dit que je m’en expliquerai, et devant la non-foule en délire je m’incline, alors voilà le pourquoi.
Bon. Je me lance. Hem… Il était une fois un petit citoyen français qui n’a pas de carte d’électeur. Par choix. Car voyez-vous, ce petit citoyen s’intéresse hautement à ce qui se passe dans son pays (et même le monde), il se tient informé le mieux possible en évitant soigneusement les journaux télévisés des 13h et 20h, parce que lui ce qu’il veut c’est de l’information et pas du voyeurisme de bas étage ou des sujets de sous-sol… Avec tout ce qu’il peut réunir grâce tant à internet qu’à de bonnes émissions de télévision ou des journaux (vous savez ces trucs en papier qui se vendent en kiosque) de qualité (tout cela selon ses propres critères bien entendu), il se fait son idée. Et avant chaque vote il se tient au courant des programmes de chacun (si si, ils en ont !), et reste attentif aux discours des prétendants au pouvoir. Et sans être de mauvaise foi, aucune tendance ne lui parle vraiment. Dans quelle mouvance se retrouve un humaniste-écolo ? Actuellement, aucune. Et le « actuellement » dure depuis un certain temps. Bref ce petit citoyen ne se retrouvant dans aucun mouvement en particulier, et bien s’il devait voter, il irait voter BLANC. Sachez, que c’est le seul vote contestataire (et non pas voter aux extrêmes des deux bords…). Seul problème, ce vote n’est pas comptabilisé !!!! Et là le petit citoyen s’indigne, quoi, il irait voter et au final on lui dirait que son vote n’existe pas ??? Alors là le petit citoyen se dit que s’il n’existe pas et bien autant qu’il ne se déplace pas, sa non-voix étant plus entendue que son vote (malheureuse vérité). Et il se dit que c’est dégueulasse, et ça lui fout même les boules au petit citoyen. Alors il rêve d’une utopie où ce vote blanc est pris en compte. Il rêve d’une élection où le résultat serait « candidat A : 31%, candidat B :33%, vote blanc : 36% » (chiffres au hasard de mon imaginaire), et où là, la classe politique se remettrait vraiment en question…
Il y a vraiment un seul vote où le petit citoyen pourrait participer sans se sentir floué, ça s’appelle un referendum. Un referendum c’est simple, on pose une question et on choisit sa réponse, « oui » ou « non ». Malheureusement, le dernier en date n’était pas si simple. Le petit citoyen a lu le texte qu’on lui a envoyé. En fait il a commencé à le lire, et au bout d’un certain nombre d’article il n’y pigeait plus rien. Pourtant il n’est pas bête ! Alors il a écouté et lu ce que les deux camps disaient, et la c’était la cacophonie totale. Conclusion, un referendum c’est simple, mais il faut que la question reste simple elle aussi.
Résultat, je ne vote toujours pas, et vu comme c’est parti, je ne pense pas changer d’avis dans les prochains mois, mais ça ne m’empêche pas de continuer à m’intéresser à la vie politique de ce pays.

Tuesday, October 04, 2005

toujours là ou presque...


Et bien ça fait un moment que je n’ai pas posté (rigolo ce mot !) un petit mot sur cette bafouille qui me sert de tribune perso ainsi que de petit rapporteur du Studio ALM où enregistre Synopsis. Doucement. Très doucement. Après les soucis techniques on est maintenant dans les soucis logistiques, ben oui, nous ne sommes pas (ou peu) équipés de bons micros et nous devons attendre qu’on nous les prête. Forcément quand on les avait 3 semaines pour nous la Digi nous a lâché, et maintenant nous avons la Digi mais plus les micros. Quand ça veut pas… Bon on a quand même pu enregistrer un peu (admirez Jérôme en plein travail, pour le clavier c’est cool, pas besoin de micro !!) Maintenant on va retourner à nos répétitions (nous n’avons plus jouer ensemble depuis juillet) car on a un concert le 22 Octobre quelque part vers Epernay (je ne sais pas encore où et ce n’est pas moi qui m’occupe de celui là !). Voilà.